"Si tu ne partages pas la lutte,
 tu partageras la défaite" (Bertolt Brecht)
Le site de la Section Syndicale CGT de l'Adapei Papillons Blancs d'Alsace
Quoi de neuf chez nous?

Plan du site Archives du site Abonnement RSS
Outils CGT Playliste Mentions légales
Défouloir Massacre SPIP
Espace privé
3725489 visites depuis le 01/11/2004
Dernier article publié le mercredi 30 novembre 2022
Dernière brève publiée le mercredi 1er janvier 2020
Contacter votre
Contacter le
Site mieux vu avec FIREFOX
Financement de la Sécu 2012 : les malades dans le viseur

Quoi de neuf ailleurs ?

article précédent    article suivant

Financement de la Sécu 2012 : les malades dans le viseur



Les députés examinent le dernier projet de loi de financement de la Sécurité sociale du quinquennat de l’ère Sarkozy.

Cette loi de financement concentre toute la politique d’injustice sociale de ce gouvernement. Sa politique de santé est un échec.

L’accroissement des inégalités sociales et de santé, la progression de la surmortalité des ouvrier-e-s et des employé-e-s marquent une terrifiante réalité : la Sécurité sociale ne réponds plus à sa mission de donner à toutes et tous les moyens de vivre en sécurité dans une dynamique sociale et d’épanouissement.

Le temps est venu de l’insécurité sociale généralisée.

C’est dans cette folle poursuite que s’engage le Gouvernement avec son projet de loi. Il prétend, pour réduire les déficits, instaurer le règne de la double peine pour les malades avec la diminution des Indemnité journalières.

Double peine ! En plus de la maladie, la sanction financière sera de mise demain si rien ne les arrête. Cette sanction envers les plus faibles est une pure démence idéologique : comme si majoritairement le peuple de France, celui qui travaille tôt et se couche tard était malade par plaisir et qu’il fallait les punir de ne pas être toujours au cœur de la performance.

La CGT demande solennellement aux députés de rejeter ce projet de loi.

A l’instant où notre peuple souffre, au cœur de cette crise il est temps de reconquérir une Sécurité sociale de haut niveau.

Il n’y aura pas de pause dans notre engagement syndical, nous savons que cette mise en sécurité sociale des populations est un des déterminants, avec le soin donné au travail et la relance de l’emploi et des salaires, pour une relance économique et le vivre ensemble en bonne santé.



Article mis en ligne le 27 octobre 2011 par Laurent

Popularité de l'article :
1%

lespapillonsblancs68